Biographie

Une vie de passions

André Bucher, un artiste Suisse au caractère bouillonnant et fourmillant d’idées…

Originaire de Kerns dans le canton d’Obwald, né au Mozambique le 7 mars 1924 à Inhambane, descendant d’une famille d’hoteliers et d’inventeurs, il a passé une bonne partie de sa jeunesse au Tessin et aux Grisons. À Ascona, sa mère l’a bercé dans les milieux artistiques où il a côtoyé un nombre importants d’artistes connus; Alberto Giacometti, Marino Marini, Remo Rossi ainsi que dans les ateliers de Jawlensky, de Macke, de Verefkin et d’Helbig qui l’ont inspiré. Sa quête l’a 

mené par la suite à l’Ecole des Beaux-Arts de Zurich, Paris, la Grande Chaumière ainsi que dans l’atelier d’Ossip Zadkine qui l’a initié à la sculpture. Après un passage par la haute couture à Paris, sa route était tracée dans le domaine artistique. André Bucher a emprunté un long chemin entre le stylisme, le graphisme, la décoration d’intérieur pour trouver sa voie qui l’a mené de la peinture à la sculpture, puis à pratiquer les deux en parallèle tout au long de sa carrière d’artiste.

Ses début à la recherche de son style.

En 1948, André Bucher, artiste très attaché à ses racines Suisse, il s’est installé à Genève pour exercer la profession de graphiste-maquettiste tout en poursuivant ses recherches personnelles. 

Durant les années 60, il a consacré son temps libre à peindre et à dessiner, voyageant entre Genève et Ascona. En 1961 il s’est marié et eu ses deux premiers enfants. En 1966, il a remis son agence de publicité pour se consacrer uniquement à son art. Son chemin l’a mené de la peinture figurative à la sculpture où il a exploré les thèmes liés à la dualité, des lignes épurées, des

volumes, la figuration stylisée et l’abstraction. Il a marié des techniques et matériaux divers dans ses sculptures en polyester, en bronze, en alpax et  autres matières. Artiste très symbolique ou tout revient à la nature, la naissance, la vie, la mort et la Création. il n’a eu de cesse d’intégrer le design, l’esprit et la matière dans son art sculptural.

1975, la rencontre avec le vulcanologue
Haroun Tazieff – 
Le déclic !

Le point de fusion est le même entre la lave et le bronze. La découverte de l’élément essentiel manquant dans son art sculptural, “la matière de la matière” ! 

Sa rencontre avec les volcans n’a pas été fortuite. Elle a été prédestinée lorsqu’il s’est rendu sur le plateau de télévision de la TSR où il a rencontré Haroun Tazieff en 1975. Celui-ci l’a motivé d’aller au sommet de l’Etna pour saisir la lave en fusion. André Bucher a défini son œuvre comme étant : « La réconciliation entre l’être humain actuel et l’univers cosmique ». Son attirance pour le feu, les volcans, qui correspond si bien à son caractère l’a incité d’aller à plusieurs reprises sur l’Etna. Deux films relatent ces aventures humaines et artistiques. Il a effectué également des séjours sur le Stromboli, les volcans d’Hawaï et s’est rendu aussi au Mont Saint Helens. 

La perspective de travailler deux matières si différentes mais dont le point de fusion est si proche : la lave et le bronze l’a excité. En 1976, l’Etna en éruption, il a organisé sa 1ère expédition pour aller sur les flancs de l’Etna à la rencontre de cette matière en fusion. Il a bivouaqué avec son équipe dans la neige durant trois semaines à 3200 mètres d’altitude dans des conditions glaciales pour façonner la lave liquide à l’aide d’outils acheminés. Heureux dans son atelier en plein air, dans cet univers où les mots perdent leur signification. Puiser à la 

source de la vie. André Bucher est, à notre connaissance, l’unique artiste au monde ayant travaillé et sculpté la lave en fusion sur les flancs d’un volcan. Cette fusion entre la lave et le bronze lui a donné une nouvelle dimension artistique, l’union idéale de l’Age de bronze et la nature actuelle. Cette première période très intense est représentée dans ses tableaux et ses dessins en rouge et noir. Ces deux teintes reprennent les diverses couleurs de laves suivant leurs provenances, parfois liquides ou solides.

André Bucher a été guidé par une force intérieure.

Malgré l’incendie de son atelier à Choulex (Genève) en 1997, avec la disparition de nombreuses œuvres et archives, l’artiste s’est relevé.

André Bucher n’a pas abandonné et a recommencé à peindre et sculpter de plus belle dans son nouvel atelier à Chêne-Bourg (Genève). Jusqu’à ses 85 ans, il s’y est rendu tous les jours pour créer de nouvelles oeuvres ; il a voulu aller toujours plus loin, pour faire progresser son art.L’artiste a aimé relever des défis de quelque nature qu’ils soient. Le gigantisme ne lui a pas

fait peur. De la sculpture qui tient dans le creux de la main à une réalisation de 18 mètres de haut, le sculpteur a réalisé des œuvres de toutes les tailles. Créations, commandes ou concours, André Bucher a passé beaucoup de temps à réfléchir, à esquisser à la recherche d’idées ou de nouveaux mariages de matières ou à l’invention de nouvelles techniques.

Extrait du reportage “Toujours Créateurs” 2008

L’esprit d’André Bucher ne s’arrêtait jamais… tel un volcan, il n’a cessé de bouillonner d’idées !

En perpétuelle recherche, il a consacré ses rares espaces de liberté à consigner des croquis et esquisses dans des centaines de grands livrets noirs qu’il a minutieusement archivés. Ceux-ci retracent ses idées, projets, états d’âme, rêveries, fantasmes, délires et nouvelles techniques.

Toute sa vie artistique y est consignée. Ses réflexions suite à des commandes ou des concours, à la recherche d’une harmonie entre un lieu, une bâtisse et des matériaux qui pouvaient orner l’entrée d’un bâtiment, d’un musée, d’une

banque ou d’un lieu religieux. Il ne s’est jamais lassé ! Ses créations ne devaient pas se démarquer, ni choquer le regard mais s’intégrer parfaitement comme si celles-ci n’auraient jamais pu se trouver ailleurs.

Le craquelé !

Technique que l’artiste a élaboré dans son atelier.  Comme dans toutes ses démarches artistiques, il a travaillé le craquelé sous toutes ses formes et sur de nombreux supports jusqu’à l’utiliser sur de l’émail.

Une nouvelle période ou André Bucher a réintégré beaucoup de couleurs dans ses oeuvres. Cette nouvelle méthode que l’artiste a élaborée au début des années 90, a une similitude avec la lave en durcissant mais celle-ci se craquelle… Il a laissé

encore une place à la nature qui a achevé les œuvres. Cette technique lorsque qu’elle sèche va développer mille figures géométriques différentes dont l’artiste peut décider de la grandeur de celles-ci mais pas de leurs formes.

L’art religieux a occupé une place de choix.

André Bucher possédait une très grande connaissance de la Bible et des dogmes des diverses religions. Il a su se modeler à toutes les religions.

Dans l’art religieux André Bucher a totalement exprimé sa volonté de transmettre des messages sous la forme de symboles universellement reconnus. C’est un artiste moderne qui n’a pas hésité à bousculer le décorum religieux classique en imposant son style si différent. il a décoré aussi bien des

synagogues, des églises, des chapelles que des mosquées. Il a su être le vecteur fédérateur de l’œcuménisme religieux, une arme puissante pour réunir les hommes dans leur profession de foi à travers une symbolique universelle qui ne peut laisser personne indifférent.

Artiste enthousiaste et passionné !

André Bucher aimait aller à la rencontre des gens. Il savait transmettre, mieux que quiconque, son enthousiasme et sa passion pour l’art moderne que ce soit à son entourage, aux férus d’art ou aux collectionneurs.

Les oeuvres d’André Bucher ont été exposées en Europe, aux Etats-Unis, au Canada et au Japon. Ses créations ont trouvé place dans un grand nombre de fondations, collections privées et musées. Commandes privées ou concours, de nombreuses sculptures issues de l’atelier d’André Bucher ornent encore l’entrée de bâtiments administratifs ou sièges de sociétés multinationales. L’artiste a également collaboré en tant que conseiller artistique et coordinateur à la réalisation

du nouveau Centre International d’Art et Médiatechnologie à Karlsruhe en Allemagne. Plusieurs ouvrages ont été publiés sur l’oeuvre d’André Bucher dont « Think Lava Art » paru en 2005 dans lequel l’artiste développe sa pensée et sa démarche philosophique. « André Bucher, artiste volcanique » paru en 2012 qui retrace sa vie artistique. Deux films ont été réalisés sur ses expéditions et le travail de l’artiste sur les flancs des volcans en éruption.

Un volcan s’est éteint …

C’était un être chaleureux et joyeux. Il nous a quitté heureux, c’était artiste de 85 ans qui avait su apprivoiser la fougue volcanique. André Bucher s’est éteint paisiblement à son domicile genevois le samedi 6 juin 2009.

L’artiste n’est plus mais ses oeuvres perdures…

Quelques sculptures qui ont trouvé de nouveaux lieux de vie à Genève, en Valais, à Monaco où ailleurs…

L’Union des Origines : Don de la Fondation BNP Paribas Suisse en collaboration avec la Fondation André Bucher-Genève Parcs Sculpture à la Commune de Cologny – octobre 2021. Relief en bronze massif, 1972, dim. 3.5 m x 5.20 m,

Vase Clos : Cette Oeuvre est devenue l’effigie de la Maison des Résistants à St Pierre de Clages (Valais). Elle orne l’esplanade du siège. La sculpture a inspiré le logo de cette entreprise qui fait de l’agriculture innovante.  Une cuvée spéciale est née en mémoire de l’artiste en 2022, la “Cuvée des Artistes” série numérotée. Métal et lave, 1981, dim 130 x 185cm 

Biographie

Une vie de passions

André Bucher, un artiste Suisse au caractère bouillonnant et fourmillant d’idées…

Originaire de Kerns dans le canton d’Obwald, né au Mozambique le 7 mars 1924 à Inhambane, descendant d’une famille d’hoteliers et d’inventeurs, il a passé une bonne partie de sa jeunesse au Tessin et aux Grisons. À Ascona, sa mère l’a bercé dans les milieux artistiques où il a côtoyé un nombre importants d’artistes connus; Alberto Giacometti, Marino Marini, Remo Rossi ainsi que dans les ateliers de Jawlensky, de Macke, de Verefkin et d’Helbig qui l’ont inspiré. Sa quête l’a mené par la suite à l’Ecole des Beaux-Arts de Zurich, Paris, la Grande Chaumière ainsi que dans l’atelier d’Ossip Zadkine qui l’a initié à la sculpture. Après un passage par la haute couture à Paris, sa route était tracée dans le domaine artistique. André Bucher a emprunté un long chemin entre le stylisme, le graphisme, la décoration d’intérieur pour trouver sa voie qui l’a mené de la peinture à la sculpture, puis à pratiquer les deux en parallèle tout au long de sa carrière d’artiste.

Ses début à la recherche de son style.

En 1948, André Bucher, artiste très attaché à ses racines Suisse, il s’est installé à Genève pour exercer la profession de graphiste-maquettiste tout en poursuivant ses recherches personnelles. 

Durant les années 60, il a consacré son temps libre à peindre et à dessiner, voyageant entre Genève et Ascona. En 1961 il s’est marié et eu ses deux premiers enfants. En 1966, il a remis son agence de publicité pour se consacrer uniquement à son art. Son chemin l’a mené de la peinture figurative à la sculpture où il a exploré les thèmes liés à la dualité, des lignes épurées, des

volumes, la figuration stylisée et l’abstraction. Il a marié des techniques et matériaux divers dans ses sculptures en polyester, en bronze, en alpax et  autres matières. Artiste très symbolique ou tout revient à la nature, la naissance, la vie, la mort et la Création. il n’a eu de cesse d’intégrer le design, l’esprit et la matière dans son art sculptural.

1975, la rencontre avec le vulcanologue Haroun Tazieff – Le déclic !

Le point de fusion est le même entre la lave et le bronze. La découverte de l’élément essentiel manquant dans son art sculptural, “la matière de la matière” ! 

Sa rencontre avec les volcans n’a pas été fortuite. Elle a été prédestinée lorsqu’il s’est rendu sur le plateau de télévision de la TSR où il a rencontré Haroun Tazieff en 1975. Celui-ci l’a motivé d’aller au sommet de l’Etna pour saisir la lave en fusion. André Bucher a défini son œuvre comme étant : « La réconciliation entre l’être humain actuel et l’univers cosmique ». Son attirance pour le feu, les volcans, qui correspond si bien à son caractère l’a incité d’aller à plusieurs reprises sur l’Etna. Deux films relatent ces aventures humaines et artistiques. Il a effectué également des séjours sur le Stromboli, les volcans d’Hawaï et s’est rendu aussi au Mont Saint Helens. 

La perspective de travailler deux matières si différentes mais dont le point de fusion est si proche : la lave et le bronze l’a excité. En 1976, l’Etna en éruption, il a organisé sa 1ère expédition pour aller sur les flancs de l’Etna à la rencontre de cette matière en fusion. Il a bivouaqué avec son équipe dans la neige durant trois semaines à 3200 mètres d’altitude dans des conditions glaciales pour façonner la lave liquide à l’aide d’outils acheminés. Heureux dans son atelier en plein air, dans cet univers où les mots perdent leur signification. Puiser à la source de la vie. André Bucher est, à notre connaissance, l’unique artiste au monde ayant travaillé et sculpté la lave en fusion sur les flancs d’un volcan. Cette fusion entre la lave et le bronze lui a donné une nouvelle dimension artistique, l’union idéale de l’Age de bronze et la nature actuelle. Cette première période très intense est représentée dans ses tableaux et ses dessins en rouge et noir. Ces deux teintes reprennent les diverses couleurs de laves suivant leurs provenances, parfois liquides ou solides.

André Bucher a été guidé par une force intérieure.

Malgré l’incendie de son atelier à Choulex (Genève) en 1997, avec la disparition de nombreuses œuvres et archives, l’artiste s’est relevé.

André Bucher n’a pas abandonné et a recommencé à peindre et sculpter de plus belle dans son nouvel atelier à Chêne-Bourg (Genève). Jusqu’à ses 85 ans, il s’y est rendu tous les jours pour créer de nouvelles oeuvres ; il a voulu aller toujours plus loin, pour faire progresser son art.L’artiste a aimé relever des défis de quelque nature qu’ils soient. Le gigantisme ne lui a pas fait peur. De la sculpture qui tient dans le creux de la main à une réalisation de 18 mètres de haut, le sculpteur a réalisé des œuvres de toutes les tailles. Créations, commandes ou concours, André Bucher a passé beaucoup de temps à réfléchir, à esquisser à la recherche d’idées ou de nouveaux mariages de matières ou à l’invention de nouvelles techniques.

Extrait du reportage “Toujours Créateurs” 2008

L’esprit d’André Bucher ne s’arrêtait jamais… tel un volcan, il n’a cessé de bouillonner d’idées !

En perpétuelle recherche, il a consacré ses rares espaces de liberté à consigner des croquis et esquisses dans des centaines de grands livrets noirs qu’il a minutieusement archivés. Ceux-ci retracent ses idées, projets, états d’âme, rêveries, fantasmes, délires et nouvelles techniques.

Toute sa vie artistique y est consignée. Ses réflexions suite à des commandes ou des concours, à la recherche d’une harmonie entre un lieu, une bâtisse et des matériaux qui pouvaient orner l’entrée d’un bâtiment, d’un musée, d’une banque ou d’un lieu religieux. Il ne s’est jamais lassé ! Ses créations ne devaient pas se démarquer, ni choquer le regard mais s’intégrer parfaitement comme si celles-ci n’auraient jamais pu se trouver ailleurs.

Le craquelé !

Technique que l’artiste a élaboré dans son atelier.  Comme dans toutes ses démarches artistiques, il a travaillé le craquelé sous toutes ses formes et sur de nombreux supports jusqu’à l’utiliser sur de l’émail.

Une nouvelle période ou André Bucher a réintégré beaucoup de couleurs dans ses oeuvres. Cette nouvelle méthode que l’artiste a élaborée au début des années 90, a une similitude avec la lave en durcissant mais celle-ci se craquelle… Il a laissé encore une place à la nature qui a achevé les œuvres. Cette technique lorsque qu’elle sèche va développer mille figures géométriques différentes dont l’artiste peut décider de la grandeur de celles-ci mais pas de leurs formes.

L’art religieux a occupé une place de choix.

André Bucher possédait une très grande connaissance de la Bible et des dogmes des diverses religions. Il a su se modeler à toutes les religions.

Dans l’art religieux André Bucher a totalement exprimé sa volonté de transmettre des messages sous la forme de symboles universellement reconnus. C’est un artiste moderne qui n’a pas hésité à bousculer le décorum religieux classique en imposant son style si différent. il a décoré aussi bien des synagogues, des églises, des chapelles que des mosquées. Il a su être le vecteur fédérateur de l’œcuménisme religieux, une arme puissante pour réunir les hommes dans leur profession de foi à travers une symbolique universelle qui ne peut laisser personne indifférent.

Artiste enthousiaste et passionné !

André Bucher aimait aller à la rencontre des gens. Il savait transmettre, mieux que quiconque, son enthousiasme et sa passion pour l’art moderne que ce soit à son entourage, aux férus d’art ou aux collectionneurs.

Les oeuvres d’André Bucher ont été exposées en Europe, aux Etats-Unis, au Canada et au Japon. Ses créations ont trouvé place dans un grand nombre de fondations, collections privées et musées. Commandes privées ou concours, de nombreuses sculptures issues de l’atelier d’André Bucher ornent encore l’entrée de bâtiments administratifs ou sièges de sociétés multinationales. L’artiste a également collaboré en tant que conseiller artistique et coordinateur à la réalisation du nouveau Centre International d’Art et Médiatechnologie à Karlsruhe en Allemagne. Plusieurs ouvrages ont été publiés sur l’oeuvre d’André Bucher dont « Think Lava Art » paru en 2005 dans lequel l’artiste développe sa pensée et sa démarche philosophique. « André Bucher, artiste volcanique » paru en 2012 qui retrace sa vie artistique. Deux films ont été réalisés sur ses expéditions et le travail de l’artiste sur les flancs des volcans en éruption.

Un volcan s’est éteint …

C’était un être chaleureux et joyeux. Il nous a quitté heureux, c’était artiste de 85 ans qui avait su apprivoiser la fougue volcanique. André Bucher s’est éteint paisiblement à son domicile genevois le samedi 6 juin 2009.

L’artiste n’est plus mais ses oeuvres perdures…

Quelques sculptures qui ont trouvé de nouveaux lieux de vie à Genève, en Valais, à Monaco où ailleurs…

L’Union des Origines : Don de la Fondation BNP Paribas Suisse en collaboration avec la Fondation André Bucher-Genève Parcs Sculpture à la Commune de Cologny – octobre 2021. Relief en bronze massif, 1972, dim. 3.5 m x 5.20 m,

Vase Clos : Cette Oeuvre est devenue l’effigie de la Maison des Résistants à St Pierre de Clages (Valais). Elle orne l’esplanade du siège. La sculpture a inspiré le logo de cette entreprise qui fait de l’agriculture innovante.  Une cuvée spéciale est née en mémoire de l’artiste en 2022, la “Cuvée des Artistes” série numérotée. Métal et lave, 1981, dim 130 x 185cm